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Publié par Chroniques de Noël N. Ngabissio (Mediatop1)

Le nouvel Homme fort de Libreville, le Général Brice Oligui Nguema

Le commandant en chef de la Garde présidentielle a renversé
Ali Bongo pour fraudes électorales récurrentes et détournements
 

le chef de l'Etat gabonais a été destitué et arrêté par les militaires de sa propre garde prétorienne, après la proclamation à 03 du matin, des résultats (trafiqués et tripatouillés) des élections présidentielles couplées aux législatives, organisées le 26 août 2023. Proclamation faite par Michel Bonda, directeur de l'organisme national chargé des élections, le Conseil national électoral, CGE.

En fait Ali Bongo avait une fois de plus décidé de tenir de fausses élections présidentielles, en vase clos lles, pour

mieux tricher, interdites aux observateurs internationaux , aux observateurs des Ong, aux journaliste étrangers, allant jusqu'à couper Internet dans le tout le pays et ainsi que le médias internationaux comme RFI, TV5, France 24, etc, et en instaurant un couvre- feu total...

La Constitution lui interdisant un troisième mandat, il a tripatouillé la Loi fondamentale (comme savent le faire si bien les présidents à vie d'Afrique centrale). Et son score se montait à 64,5% sur 80% des votants. Les soldats, militaires, gendarmes, gardes et policiers - un groupe d'une quinzaine de personnes au total,avec à la tête des éléments de la garde prétorienne du chef de l'Etat - vont faire irruption dans le studio de la TV Gabon 24, installée dans le Palais présidentiel, pour siffler la fin du jeu. Game is over...

Les putschistes déclarent en même temps le renversement du Régime, l'annulation de ces fausses élections (comme toujours truquées) ainsi que la suspension de "toutes les institutions de la République".

Ali Bongo s'est retrouvé en résidence surveillée. Son épouse, la quarteronne franco-gabonaise née (au Gabon) Sylvia Valentin, gardée dans le Palais avec son fils cadet tandis que le fils aîné Nourredine Bongo Valentin qui tenait (de plus en plus) le parti dominant PDG (Parti Démocratique gabonais) créé par son grand-père, était enfermé dans une cellule de la prison pour "haute trahison et détournements de fonds publics" pour les nombreux milliards (oui, des milliards) de francs Cfa (!) retrouvés dans des cachettes et coffres-forts chez ses employés, aides de camp et autres directeurs de cabinet.

Ali Bongo Ondimba, tombé, tombé hé...

 

C'en est donc bien fini de la la captation du pouvoir politique au Gabon par une famille, débutée en 1967 par Albert-Bernard Bongo (avec l'aide des Français (la Françafrique de Jacques Foccart, au décès en France de Léon Mba, premier Président gabonais) qui changera ses prénoms en "Omar" après sa conversion à l'Islam le 29 septembre 1973 après une visite chez Mouamar Kadhafi, suivi d'un pélerinage à La Mecque.

 

«On peut me reprocher des choses, mais pas de manquer d’ambition pour mon pays. Vous me connaissez, impossible ne fait pas partie de mon vocabulaire. Notre avenir est là devant nous et il se construit chaque jour avec les Gabonaises et les Gabonais qui travaillent pour leur pays », a-t-il littéralement martelé.

Le candidat du PDG entend, avec le soutien de la p

 

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